Jonathan Maxwell

Prenom: Jonathan
Nom: Maxwell
Age: 30 ans
Sexe: masculin

Groupe: FBI

Caractère: Il est toujours prêt à rire, ce Jonathan, mais jamais de lui. Il ne rie pas des autres non plus, seulement des situations comiques, mais surtout jamais de lui-même. Ne le provoquez pas sur ce point là, il va vous le faire savoir. C'est aussi un homme patient, toujours prêt à expliquer plusieurs fois ce qu'il avait déjà dit plusieurs fois. Il n'a pas de mauvais jugement sur les autres. Il a toujours de la facilité à accepter les défauts, et même à s'arrenger pour que ces défauts deviennent des qualités. C'est peut-être un peu pour ça qu'il est si bon policier: il sait se former une équipe forte, peu importe que sont les forces ou faiblesses des autres. Aussi, il a toujours envie d'en savoir plus sur les autres, peut-être est-il trop curieux, mais il dit ne pas vouloir se faire cacher des informations importantes.

Description Physique: C'est un homme grand. Il est assez bien bâti, ce Jonathan, avec des épaules larges, un corps en forme. Avec un uniforme, il a l'air d'un gamin, mais sous son uniforme... Inutile de dire qu'il a les yeux bleus, les cheveux châtins clairs et un visage plutôt enfantesque, c'est bien évident qu'il en va de soit. C'est à noter par contre que Jonathan a une habitude bien particulière à se laver les mains fréquemment. Il a la peau douce, un joli sourire tout blanc et les mains toujours propres, au cas où la situation l'exigerait. Quelle situation? Qui sait! Et de toute façon, à la grandeur que ses mains ont, il est peut-être mieux de les laver souvant: elles doivent faire au moins la moitié de sa peau tellement elles sont grandes. On a souvent dit que ses mains étaient inversement proportionnelles à la grosseur de... ses mollets! Mais à quoi pensiez-vous? Il a de supers abdos, mais de longs mollets fins. C'est peut-être la seule particularité étrange dans sa physionnomie.

Histoire: Tout a toujours été facile pour Jonathan dans sa vie. Son chemin avait été tracé d'avance par plusieurs ancètres maintenant inscrits dans l'histoire sous les noms du Colonel Moutarde et du Colonel Sanders. Son propre père était un colonel remarquable. On disait de lui qu'il était le fils de l'armée et qu'il était bien impossible de l'avoir par quelconque moyen, parce qu'il était toujours alerte. Ce fut donc bien triste d'apprendre qu'il avait été poignardé à travers la toile d'une tente hérigée dans un desert quelconque lors d'une invasion barbare entre deux clans bien inconnus. Personne ne savait ce qu'il faisait là, mais tous vinrent pleurer sur sa tombe.

Après trois fils, le père Maxwell avait-il plutôt décidé de se retirer négligemment?

Oui, trois beaux fils: George, Frank et John. De leurs noms complets George-Nathaniel, France-Oliver et Jonathan-William. Pourquoi de si longs noms? On disait que c'était l'accord qu'avaient pris les parents après une longue dispute sur leurs noms: l'un voulait une chose, l'autre en voulait une autre, et ce n'est pas le temps de s'arrachr les cheveux quand on fait déjà la guerre d'une part et qu'on se revoie les entrailles de l'autre.

Colonel, colonel, colonel, policier, agent secret... Jonathan voulait aussi être à la hauteur de tous ceux qui étaient passés avant lui. Il ne lui prit pas beaucoup d'énergie pour graduer policier en un temps record. L'on disait que les trois fils du colonel Maxwell avaient été bénis des Dieux après les merveilles qu'avaient faits leur père: trois garçons intelligents, rusés et compréhensifs.

Bref, une enfance bien heureuse, qu'il n'aime pas remuer, une adolescence bien heureuse, qu'il n'aime pas se remémorer, et un passage à l'âge adulte bien planifié, qu'il ne regrette pas non plus. En fait, Jonathan n'aime pas se souvenir de choses de son passé, il croit que c'est bien inutile.

Exemple de RP:

La nuit était largement éclairée par la lune. À la radio patrouille, on disait qu'un vîoleur venait d'être détecté dans un secteur bien connu de New York. En revenant chez lui, Jonathan avait pris ses messages et l'un d'eux était d'un ancien collègue: un coup de main du fils benjamin du colonel Maxwell ne serait pas de refus. Jonathan était fatigué, une journée d'université, ce n'était pas comme avant. Quand il était plus jeune, il absorbait l'information comme une éponge, mais maintenant, il se sentait plutôt comme une brique. Et de toute façon, en bon ex-policier nouveau membre infiltré du FBI, il n'avait pas besoin de cours pour comprendre le mécanisme mental des dangeureux criminels.

Peu importait son état de fatigue pour Jonathan: il était toujours prêt à aller s'amuser sur le terrain! Il dégringola les marches pour se rendre au sous-sol de sa maison, agrippa son ami le pistolet qui était chargé et qui l'attendait patiemment sur le bureau et l'attacha à sa ceinture. Il enfila sa veste pare-balle qui était soigneusement accrochée au mur, puis sortit par la porte du sous-sol pour se rendre à l'extérieur de sa maison par derrière. Il avait maintenant quitté son sous-sol aux airs de la Batcave et sautait dans ce qui aurait pu être une Batmobile camoufflée pour se rendre sur le lieu du crime dans des airs de débandade à la SinCity. Le chemin fut court, mais assez long pour que Jonathan puisse se demander une chose très importante: combien de temps s'était-il écoulé entre l'appel de son ancien collègue et son arrivée à la maison? Peut-être cet appel datait du matin, peut-être de quelques secondes à peine, mais l'agent avait oublié de vérifier. Il se dit machinalement qu'au pire des cas, il se rendrait sur place et trouverait l'endroit vide. Il aurait fait un tour de voiture dans une belle nuit lumineuse.

Arrivé sur le site, il sorti de sa voiture, claquant la porte de celle-ci avec tellement de force que Jonathan s'arrêta un instant pour mettre sa main sur la voiture en guise d'excuse. Il marcha vers l'endroit indiqué et ne vit personne qui semblait louche à point. Il décida de rentrer chez lui tranquillement, de prendre le temps, de bien respirer et de tout remettre en ordre pour la prochaine fois. Il arriva pour ouvrir la porte de sa voiture: elle était barrée. Il chercha ses clés dans ses poches, se tâta le corps presque en entier, jusqu'à ce qu'il ne les voit, les vlimeuses, sur le siège du conducteur. Ah! Quel idiot! Pourquoi les avait-il oubliés ainsi? Maintenant, il allait devoir marcher cette longue rue jusqu'à chez lui!

Il prit le temps de regarder autour, pour voir si quelqu'un n'aurait pas pu l'aider et remarqua qu'il se trouvait au centre ville de New York, où les lumières éclairaient les bars et où les femmes ivres tombaient dans les bras de leurs maris découragés ou tout simplement sur les bancs fatigués qui n'attendaient que le petit matin pour s'endormir un peu. Ces pauvres bancs, pensait Jonathan, ils devaient rester là toute la journée et toute la nuit pour accueillir gentiement les passants incapables de se tenir debout.

Mais qu'allait-il faire? Jonathan était tout de même au millieu de New York, sans voiture, habillé en police, entouré de plein de gens qui auraient certainement voulu lui faire la peau! Il pensa donc, mais fut intercepté par une main sur son épaule.

Demande d'agent Infiltré(Seulement pour le FBI); Oui ou Non (Si oui préciser la façon de procéder, soit par demande directe au directeur, soit par scénario avec le FBI): Oui, par scénario du FBI: il était devenu criminel après son adolescence, quand sa femme l'avait quitté et avait un certain potentiel dans les viols et massacres sanglants



Amis: Jill Snow: amie d'enfance
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Il ne manque plus que l'avatar et l'avis du chef mais ta fiche m'a l'air en ordre!

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